La radiothérapie peut affecter l'appétit de différentes façons. Il est possible que l'irradiation de la tête et du cou cause temporairement des changements de goût ou de l'odorat, susceptibles de rendre les aliments moins appétissants.
Certaines personnes ne sont plus du tout intéressées par la nourriture et ne mangent plus, même si elles savent qu'elles doivent le faire. La perte d'appétit est un trouble fréquent qui peut engendrer une perte de poids.
A contrario, certaines personnes peuvent prendre du poids car elles prennent souvent des collations pour soulager les nausées lors du traitement.
Le mal des rayons est caractérisé par une perte d'appétit, des nausées et des vomissements. C'est un effet secondaire courant de la radiothérapie si l'estomac et l'abdomen se trouvent dans la zone de traitement. Il peut aussi se manifester comme effet secondaire général, peu importe la région traitée. Le mal des rayons est causé par la libération de substances toxiques par les cellules cancéreuses qui se décomposent et meurent. Cet effet secondaire se dissipe habituellement quelques semaines après la fin de la radiothérapie externe.
Certaines personnes peuvent prendre du poids en cours de chimiothérapie, en particulier si des médicaments comme les corticostéroïdes sont administrés.
La rétention de liquide est une accumulation de liquide dans le corps. Elle peut entraîner une sensation d’enflure et de boursouflure au visage, aux mains ou aux pieds. L’accumulation de liquide peut se manifester dans la partie inférieure de l’abdomen et ainsi causer un ballonnement. L’accumulation de liquide autour des poumons et du cœur peut causer de la toux, un essoufflement ou des battements de cœur irréguliers. Si vous prenez du poids en peu de temps, signalez-le au médecin.
Pour aider à soulager la rétention de liquide, on peut éviter de consommer du sel ou des aliments salés et limiter sa consommation de liquide.
Si la rétention de liquide est importante, on pourra vous administrer des médicaments pour vous aider à éliminer l’excès de liquide.
Tomate. Carottes. Grenade. Artichaut. Choux. Graines de soja (à éviter en traitement hormono-dépendant). Fenouil. Anis. Coriandre. Raisins rouges. Baies rouges.
Ail. Laurier. cCou de girofle. Gingembre. Aloès. Piment rouge. Curcuma. Thym. Romarin.
Sans oublier le thé vert et le miel comme sucre naturel.
La nutrithérapie est basée sur la compréhension des mécanismes biochimiques de l’organisme, de la compatibilité d’action des nutriments ainsi que leur biodisponibilité.
Elle permet une démarche diagnostique préventive et thérapeutique. La nutrithérapie cherche à savoir comment les nutriments sont métabolisés au niveau des cellules et comment leur excès ou leur manque peuvent engendrer des désordres physiologique laissant la porte ouverte à de nombreuses pathologies.
Les pathologies rencontrées :
Les allergies, l’inflammation sous diverses formes, les tendinites, l’arthrite, l’arthrose, l’ostéoporose, le surpoids, le diabète, les maladies cardio-vasculaires, la faiblesse immunitaire et les pathologies qui en découlent telles que le vieillissement accéléré, les troubles de l’humeur,...
En bref, la nutrithérapie s’appuie sur les conseils alimentaires et la correction des déficits ou des excès en vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides gras essentiels, acides aminés, antioxydants, enzymes, pré et probiotiques, (etc… ). Tous ces éléments sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme.
En savoir un peu plus sur les aliments qui nous protègent, nous avons trouvé pour vous le site, www.alimentation-anti-cancer.com pour vous manger et comprendre l’importance de bien manger.